Bonjour David,
Vous êtes un homme discret de la direction générale de la Police nationale. Un remerciement appuyé d’avoir accepté notre entretien à l’immeuble Lumière, anciennement Zeus, à Paris.
Quel est votre titre aujourd’hui et vos missions au regard de l’actualité de la transformation de la Police nationale ?
Je suis depuis un an chef du département du management et de la gestion des commissaires de
police.
Mes fonctions consistent à conseiller le préfet DRCPN, le directeur des ressources et des compétences de la Police nationale et conseiller le directeur général de la Police nationale sur toutes les questions qui touchent aux commissaires de police pour l’ensemble du périmètre de la Police nationale.
Mes actualités sont nombreuses.
Au sein de ce département, nous avons des activités traditionnelles de gestion du corps. Donc nous gérons le corps de la sortie d’école au choix des postes pour les jeunes commissaires de police.
Nous gérons les campagnes de mutation de nos plus de 1 800 commissaires de police qui bougent régulièrement dans l’année, les avancements de grades de commissaire divisionnaire, de commissaire général, les emplois de contrôleur général, les emplois d’inspecteur général et de directeur de service actif.
Nous avons également des actualités statutaires. Les commissaires de police ont obtenu comme d’autres corps de la police en contrepartie des contraintes exceptionnelles de nos métiers de nombreuses avancées statutaires dans le cadre des négociations du Beauvau de la sécurité.
Outre la mise en œuvre des avancées statutaires obtenues, nous avons un très important chantier lié à la transformation de l’encadrement supérieur de l’État auquel notre corps est désormais rattaché ; ce travail est en partie réalisé avec la Délégation interministérielle à l’encadrement supérieur de l’État – la DIESE, et cela se traduit concrètement dans la Police nationale par une approche tout à fait rénovée sur l’évaluation des commissaires puisque le DGPN a mis en place il y a quelques mois le Conseil supérieur de l’appui territorial et de l’évaluation – CSATE, dirigée par Brigitte JULLIEN.
Le département que je dirige et la DRCPN travaillent donc directement à la mise en place avec Brigitte JULLIEN de cette évaluation, c’est un travail partenarial nouveau et important dans un contexte RH renouvelé.
Il y a évidemment, un travail important qui va devoir se mettre en place pour nous l’an prochain autour de la réorganisation de la Police nationale avec les équipes de Grégory-Hugues FRELY, et puis également de nombreux chantiers à venir autour de la réforme de la formation avec la création d’une Académie de Police, ainsi que d’une réforme envisagée des Ressources Humaines de la Police Nationale.
Ce que je peux dire sur tous ces chantiers en cours ou à venir est qu’ils sont le signe que la police s’adapte aux nouveaux enjeux en se préparant à évoluer profondément.
Une Police nationale en plein mouvement, avec de nombreux chantiers d’actualités et de rénovations qui touchent la gouvernance ; les commissaires sont donc au cœur de tous ces chantiers. Travailler sur la RH des commissaires de police est une des priorités pour le DGPN car il lui faut avoir des futurs cadres de demain qui sachent s’adapter aux nouveaux enjeux de sécurité.
En ce qui me concerne plus précisément, il y a beaucoup de questions sur le recrutement et le profil de nos commissaires parce que l’on voit que le métier change beaucoup aujourd’hui.
Nous avons énormément de sujets en lien avec les nouvelles technologies, avec la cyber, avec la transformation numérique qui vont faire changer demain le métier de commissaire de police.
Je pense aux 4è Rencontres sur la lutte contre la cybercriminalité organisé par Christian SONRIER, président de l’AHFPN, et présidé par Christian SAINTE, directeur de la police judiciaire de la Préfecture de police de Paris.
Donc pour nous, il y a vraiment un sujet de prospective et de réflexion avec la Direction centrale du Recrutement et de la formation de la Police nationale – DCRFPN, sur la question : Quel commissaire on va pouvoir recruter demain ?
Nous devons réfléchir au recrutement de profils plus techno, plus spécialistes parce que nous avons des besoins forts à la DGSI et aussi dans les autres services de renseignements et l’ensemble des services qui travaillent sur le cyber.
Le sujet de la communication est également très important.
Nous voyons que l’on a aujourd’hui pour les commissaires de police une exposition très forte à la communication. Le commissaire de police doit rendre des comptes sur ce plan là, il doit parfaitement intégrer et maîtriser l’ensemble des outils de communication, c’est une compétence que l’on va rechercher de plus en plus chez nos jeunes cadres. Tous ces sujets sont nouveaux et font partie d’un nouveau paysage.
Et puis le sujet de l’international parce que nous avons de plus en plus de nos métiers qui sont connectés à l’international. Le commissaire de police gère des politiques publiques dans le domaine de l’international. Nous le voyons à la DGSI, à la Police aux frontières, en Police judiciaire à travers notamment le travail des offices, enfin au travers du réseau de nos attachés à l’étranger qui travaillent pour le compte de la Direction de la Coopération Internationale et des Sécurités (DCIS) et qui sont présent partout dans le monde via le réseau des ambassades.
Venons à l’ensemble de votre parcours riche en émotions et expériences.
- Quel était le contexte de votre enfance et adolescence ?
J’ai des origines parisiennes. D’une façon plus précise, j’ai vécu à Meudon tout en suivant mes études dans le 16ème arrondissement, à Janson de Sailly, puis à la faculté de Paris II. Un environnement qui m’a tiré vers le haut.
Je viens néanmoins d’un milieu simple, élevé par ma mère seule. C’est important pour moi de le dire. Je suis issu de la promotion sociale en ce sens que j’ai beaucoup donné et me suis beaucoup battu pour être là où je suis aujourd’hui, socialement en tous les cas.
Je n’ai pas été élevé par mon père qui était haïtien dans l’armée américaine. Il a fait la guerre du Vietnam et j’ai toujours vécu avec cette histoire d’un père absent et militaire pour l’armée américaine.
J’ai également été marqué par les origines de ma maman qui vient de Verdun. Et j’ai été fasciné très jeune par cette ville et son sacrifice, ce souvenir est très présent notamment lors des commémorations de novembre qui résonnent toujours chez moi avec un sens profond. Le sacrifice de l’armée française à Verdun, une terre presque sacrée à mes yeux qui fait partie de l’histoire de France.
Je suis très marqué par l’histoire, les racines de la France, l’héritage. J’avais un grand-père qui m’a beaucoup emmené sur les champs de bataille, dans les tranchées de Verdun.
Mon grand-père était technicien des eaux et forêt, j’ai passé beaucoup de temps avec lui pendant mon enfance et il était un peu un modèle pour moi. Il m’a beaucoup emmené sur des lieux de mémoire, pendant mes vacances nous allions dans cette forêt encore profondément meurtrie par la bataille presque tous les jours…J’ai ensuite souhaité rentrer dans les armées, faire une corniche, intégrer les lycées militaires et je n’ai pas pu le faire pour plein de raisons. Donc je me suis inscrit à la fac de Paris II dans l’idée de devenir magistrat.
- Comment s’est faite votre arrivée dans la police ?
Mon arrivée dans la police s’est faite dans la préparation au concours de magistrat. Il se trouve que parmi mes camarades étudiants il y avait trois corses qui préparaient le concours de commissaire de police, ça peut faire cliché mais ils étaient sympas, parlaient beaucoup de police, je n’avais jamais pensé à ce métier. Ces conversations avec eux sur les bancs de la prépa ENM, Ecole nationale de la magistrature, m’ont donné le déclic, je me suis dit pourquoi pas ! De fait j’ai préparé le concours de magistrat en même temps que le concours de commissaire de police et j’ai eu celui de commissaire … Donc j’étais peut-être prédestiné à ce métier.
J’ai été également marqué par mon service dans les armées et je suis aujourd’hui officier de réserve des armées, c’est important pour moi.
J’ai fait mes classes à la cavalerie de Saumur, j’ai servi au 3ème régiment de hussards à Pforzheim, ville du Land de Bade-Wurtemberg en Allemagne, au sein de la brigade franco-allemande. Un souvenir très marquant et je conserve une nostalgie forte de ce creuset de formation. Une formation qui a touché toute une génération, une formation humaine. De cette période d’aspirant, j’ai appris beaucoup du commandement. J’ai appris à connaître les hommes, à leur parler, à commander, à être proche d’eux, à vivre en cohésion, en équipe.
Ensuite, j’ai appris à l’école de police. C’est une formation très riche et très forte également, ce sont de bons souvenirs de camaraderie et de découverte, ce que je retiens surtout de ma formation à l’ENSP, Ecole nationale supérieure de la Police nationale, ce sont les nombreux stages, ils représentaient presque un an. J’ai accumulé pendant ces stages des souvenirs marquants et formateurs gravés à jamais, mes premiers cadavres, mes premières nuits de violences urbaines dans la cité des Tarterêts près d’Evry, mes premières patrouilles police-secours, mes premières enquêtes et le souvenir incroyable de mon passage à la brigade criminelle PJ Versailles avec le commissaire Dominique Laporte durant lequel j’ai eu la chance de participer à la résolution d’une affaire criminelle notamment à laquelle je pense encore souvent et qui rend vivante pour moi une des devises de la police judiciaire « croire et douter », ma découverte également de la DOPC au travers de la sécurisation du voyage du Pape Jean-Paul II occasion pour laquelle j’avais été envoyé en renfort sur le 16ème arrondissement avec au final la sécurisation de plusieurs évènements rassemblant plus d’un million de personne.
Notre promotion la 48ème a été la première à défiler sur les Champs-Elysées en 1997 et 1998, je garde le souvenir d’une ferveur incroyable dans Paris pour le défilé de 1998 deux jours après la victoire de la France lors de la coupe du monde de football à Paris.
Mais l’ENSP c’est surtout une vraie camaraderie, de vrais liens solides d’amitié et de fidélité, nous restons très soudés pour beaucoup aujourd’hui encore au sein de notre promotion.
- Une arrivée dans la police, marquée en amont par vos classes à la cavalerie de Saumur et votre service au 3ème régiment de hussards à Pforzheim. Quelle est la suite de votre parcours ?
Ensuite, j’ai eu un parcours assez classique.
J’ai été en sécurité publique, chef de circonscription à Bruay-la-Buissière dans les Hauts-de-France où j’ai découvert les corons, les cités minières et une population en situation très dégradée.
C’est un très beau souvenir de commandement avec aussi des difficultés à l’époque. L’alcool était encore présent dans les services et le management étaient parfois compliqués.
A la suite de cette expérience, je suis rentré à Paris où j’ai été en poste à Meudon comme chef de circonscription. Puis dans le 19ème arrondissement à Paris où j’ai été nommé commissaire principal à l’état-major de la Préfecture de police de Paris.
Je suis reparti ensuite dans le Nord de la France en police judiciaire, à la PJ de Lille.
Puis j’ai été détaché dans un tribunal administratif à Lille pour découvrir autre chose et c’est ainsi que j’ai été le premier commissaire de police à être détaché en qualité de conseiller de tribunal administratif de 2010 à 2013.Aujourd’hui nous avons de nombreux collègues détachés, en moyenne aujourd’hui une quinzaine partent chaque année en détachement dans divers ministères comme administrateurs, sous-préfets ou magistrats.
Ensuite j’ai été chef de sécurité publique à Lille, chef du service de voie publique avec 700 collaborateurs sous mes ordres, puis commissaire à Tourcoing dans les Hauts-de-France pendant 3 ans et enfin directeur départemental à Amiens.
Donc un parcours très marqué en sécurité publique.
Chez nous, c’est une des trois filières. Il est important de préciser que nous avons trois dominantes métiers de commissaire : une dominante autour des métiers dits de « sécurité générale et ordre public » qui représente plus de la moitié des postes, une dominante dite « investigation » et enfin une dominante métier autour du renseignement, en complément plusieurs spécialités tendent à se développer pour un nombre plus limités de commissaires autour de l’international, des nouvelles technologies de la communication, des ressources humaines ou de la formation, notre métier est particulièrement riche et offre de très nombreuses possibilités de carrières.
Votre expérience certaine de la police invite à transmettre des messages …
- Comment définiriez-vous la « grande maison » ?
La police est une grande famille qui se vit en équipe. Je dirais même que la police est un sport d’équipe.
Une BAC est une équipe à trois, un travail d’enquêtes se fait en groupe, le chef de service travaille avec des collaborateurs, sans parler du travail en CRS… Et on travaille en équipes avec des cycles décalés. Cela crée une cohésion à part qui a parfois tendance à nous couper de l’extérieur. En cela, je pense qu’il est très important que l’on ne vive pas qu’entre nous, que l’on s’ouvre à la communication.
La police a besoin de mieux communiquer et de plus communiquer. Souvent la police est sur la défensive car pointée du doigt, critiquée, attaquée sur des sujets et il est vrai qu’elle a de la peine à expliquer ce qu’elle fait, à s’ouvrir. La communication n’est pas vraiment encore totalement dans notre culture. J’aime la communication et je me définis comme un homme de communication. Je crois que c’est important de montrer ce que l’on est et le positif que nous apportons tous les jours.
Les policiers ont plein de choses à apporter à la société, ils ont plein de ressources et vivent une réalité vraiment compliquée et même si on a fait beaucoup de progrès sur la communication, on a besoin de s’ouvrir plus et de communiquer davantage. C’est l’un des messages que je souhaite faire passer.
Je souhaite que les policiers n’aient pas peur de parler de qui ils sont, de ce qu’ils font car ils sont plein de richesses.
- Que diriez-vous aux jeunes qui nous lisent et qui s’intéressent aux métiers de la police ?
Ce que je peux dire est que notre métier est celui d’un engagement. C’est un des rares métiers aujourd’hui qui permet d’être dans le concret. C’est-à-dire que l’on fait des choses, le policier n’est pas un homme de concept mais un homme d’action.
Ce que j’aime dans ce métier, dans la partie opérationnelle de la police c’est que le policier a des résultats tous les jours, des résultats dans l’enquête, des résultats dans l’ordre public en gérant notamment une manifestation, en interpellant, le résultat est immédiat.
Il y a un rôle social majeur aujourd’hui dans une société qui va mal. Je ne fais pas de politique en le disant. Et dans la société, le policier fait des choses. Le policier, le gendarme, l’homme ou la femme de sécurité publique exerce un métier qui impacte la société. Un impact immédiat et positif. Arrêter un auteur d’infraction, un homme qui bat sa femme par exemple, est une action qui impacte positivement la société. Nous interpellons chaque année des centaines de milliers de personnes dans le sens du positif. Malheureusement la peinture médiatique va souvent fausser cette image en disant que policier est violent.
Je crois beaucoup au rôle social de la police, à la police-secours. Il faut avoir écouté le 17 police-secours pendant une heure ! C’est incroyable d’écouter la détresse des gens et de voir que le gardien de la paix ou le gendarme en répondant au 17 va régler des problèmes en permanence. On est payé pour régler des problèmes que souvent personne ne sait régler. Cela va de la vie d’une personne, la vie d’un quartier à la sécurisation des jeux olympiques. Notre impact est concret.
Je suis très fier de ce travail et je pense aux commissaires qui gèrent des politiques locales, de faire en sorte que le maire d’une commune soit serein avec sa population. Ce que j’ai vécu depuis plus de vingt ans à Paris, Lille, Tourcoing ou Amiens c’est un métier ou je n’ai cessé de « faire » et de me rendre utile à la collectivité.
On ne dit pas assez que dans beaucoup d’endroits, de quartiers, la police est l’un des seul service public qui vient vers vous où que vous soyez et quelle que soit l’heure du jour ou de la nuit, notre rôle social est majeur dans la société, nous répondons toujours présent.
Vous évoquiez la passion de l’histoire de France, l’intérêt pour la culture … Etes-vous animé par d’autres sujets ?
Je suis un passionné de montagne. J’ai vécu une partie de mon enfance à Chambéry en Savoie et j’aime passer une grande partie de mes vacances d’été et d’hiver en montagne, j’adore les sports de glisse ; j’espère plus tard m’installer dans une région de montagne.
Je suis passionné d’histoire, de sport avec une particularité, je me déplace partout à vélo dans Paris ce qui amuse souvent mes collègues (sourire). C’est un vrai sujet pour moi y compris professionnel, je suis fier de dire que j’ai été le premier chef de voie publique à Lille à remettre des équipages à vélo électrique, j’ai fait de même à Tourcoing et Amiens ; à titre personnel la culture de la voiture systématique m’insupporte profondément, à l’heure où tout le monde parle bilan carbone je pense que chacun doit commencer à s’interroger sur ses pratiques quotidiennes.
Et je suis passionné de bandes dessinées et de cinéma mais malheureusement je n’ai que trop peu de temps à y consacrer.
- A l’approche des fêtes de fin d’année, cela serait sympathique de nous conseiller des BD (sourire)
Je lis toutes les bandes dessinées actuelles, j’ai lu récemment l’intégrale « RG » de Pierre Dragon (pseudo) d’un flic qui raconte sa vie de policier de terrain dans un service de renseignement mis en scène par Fredrik Peeters, je conseille vivement cette belle découverte pour tous ceux qui veulent se plonger dans l’atmosphère de notre maison. Je suis un passionné de peintures, de dessins, d’images, de photos mais je ne prends presque plus de temps pour ça depuis longtemps.
Et puis j’aime le jardin. J’ai la chance d’avoir un très grand jardin à Amiens.
Le week-end j’essaye surtout de rattraper le temps perdu de la semaine et me consacre à ma famille.
J’essaye toujours de discerner ce qui est essentiel dans ma vie c’est important de toujours garder ce sens de l’équilibre, le métier de commissaire nous aspire il prend beaucoup de nos moments personnels et peut parfois nous éloigner de l’essentiel. Dans le domaine professionnel ou personnel, l’essentiel se résume en réalité à peu de choses mais il faut savoir les discerner, j’aime cette phrase de Paul Éluard qui pourrait me servir pour conclure – « Il nous faut peu de mots pour exprimer l’essentiel ».
Conclusion de Miss K
Un entretien plein de sincérité, des émotions fortes et des valeurs communes.
Je souhaite un avenir serein à la « grande maison » sur ses ancrages et ses restructurations, un lien plus fort police-population, police-jeunesse avec un constat bien sympathique, celui de David de nous faire découvrir l’ « agent Lucas » !
Légendes des photos rédigées par David Preud’homme – Droits : contacter David Preud’homme.
En Une : J’aime bien cette photo prise avec « agent Lucas » qui était devenu notre mascotte, petit amiénois passionné par la police nous l’avions invité à de nombreuses reprises. Photo prise quelques jours avant mon départ en septembre 2021.
Photo 2 : Cérémonie du 10 mai 2021, policiers morts pour la France avec la préfète de la Somme Muriel Nguyen.
Photo 3 : J’aime beaucoup également cette photo avec Hubert de Jenlis adjoint sécurité de la ville d’Amiens début 2021.
Photo 4 : Remise MSI gilets jaunes en Préfecture juin 2020.
Photo 5 : Septembre 2019, 6h du matin départ d’Amiens en vélo pour rejoindre Abbeville à 50km avec les commissaires de la ddsp pour un défi de cohésion de groupe.
Photo 6 : 17 janvier 2019, Matinale spéciale Europe 1 en direct du commissariat d’Amiens nous étions en pleine période gilets jaunes, j’étais DDSP de la Somme depuis 6 mois. Le Ministre Christophe Castaner s’était déplacé, grand souvenir professionnel et très beau moment pour le commissariat d’Amiens.
Photo 7 : Photo prise en septembre 2018 avec les chefs de service de la DDSP 80 au moment de ma prise de fonctions comme DDSP de la Somme.
Photo 8 : 3 septembre 2018. Cérémonie de départ de Tourcoing dont j’étais le commissaire. Gérald Darmanin ministre du budget de l’époque m’avait fait l’honneur d’une réception en mairie.
Publié le 28 novembre 2022.
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