Miss Konfidentielle apprécie l’architecture moderne et les programmes étonnants proposés par la Fondation Louis Vuitton. Après l’article #MoMa à la Fondation Louis Vuitton – Paris ; Exposition Jean-Michel Basquiat à la Fondation Louis Vuitton, Paris ; Turner, Manet, Seurat, Monet, van Gogh.. la collection Courtauld exposée à la Fondation Louis Vuitton voici la programmation Auditorium de Septembre 2019 à Juin 2020. Avis aux amateurs et passionnés de musique !
Au sein de la Fondation Louis Vuitton, célèbre bâtiment signé par Frank Gehry, l’Auditorium est un lieu dédié à la création, à la rencontre entre les musiciens et les artistes issus de toutes disciplines. D’une capacité de 350 places assises à 1 000 places debout selon la configuration proposée, il offre aux artistes et au public un cadre unique de par son architecture et la qualité de ses équipements. Les musiciens et créateurs invités y composent une saison reflétant la diversité et la vitalité du monde musical. Les grands interprètes d’aujourd’hui seront à nouveau au rendez-vous cette saison pour des concerts événements de la vie musicale parisienne, du récital à la musique de chambre.
Face à ces artistes internationalement reconnus, la Fondation Louis Vuitton accueillera cette année encore des jeunes et remarquables talents du clavier pour la série“Piano nouvelle génération“, qui fidélise un grand nombre de spectateurs, et qui permet à ces artistes en devenir de prouver leur exceptionnelle virtuosité.
La transmission reste centrale dans la programmation de l’Auditorium. Forte du très grand succès rencontré lors des quatre saisons passées, la Classe d’Excellence de Violoncelle, placée sous la conduite de Gautier Capuçon et associée aux concerts des six lauréats sélectionnés, donnera à nouveau rendez-vous chaque mois au public de la Fondation Louis Vuitton dès le mois de novembre. Pour cette nouvelle édition, une œuvre pour 7 violoncelles sera créée lors du concert de clôture du 20 juin 2020.
Pour la troisième saison consécutive, la Fondation Louis Vuitton inclut à nouveau le jazz dans sa programmation en fin de saison avec les Piano Jazz Sessions.
Lundi 23 septembre 2019, 20h30 : Récital Alexander Kantorow, piano
Brahms, Rhapsodie n°1, op.79
Liszt, Chasse Neige
Bartók, Rhapsodie op.1Brahms, Sonate n°2
Fauré, Nocturne n°6, op. 63
En 2019, alors âgé de 21 ans seulement, Alexandre Kantorow devient le premier pianistefrançais à remporter le prestigieux Concours Tchaïkovski qui le propulse immédiatementsur le devant de la scène internationale. Artiste dont la précocité et la maturité n’enfinissent pas d’étonner, il convoque aux côtés de Brahms, son compositeur de prédilection, la figure de Bartók : deux fervents défenseurs de la musique traditionnelle hongroise, à quiil consacre un CD enregistré à l’Auditorium de la Fondation Louis Vuitton (sortie prévuepour le printemps 2020). Avec Liszt et Fauré, ce sont deux facettes contrastées de son art pianistique qu’il révèle : d’un côté une virtuosité brillante et athlétique ; de l’autre un jeu finet délicat d’une intimité troublante.
Vendredi 25 octobre 2019, 20h30 : Piano nouvelle génération — Martin James Bartlett
Bach, Jesu, Joy of Man’s Desiring (arr. Hess)
Mozart, Sonate n°12 en fa majeur, K.322
Schumann, Widmung (arr. Liszt)
Scriabine, Sonate n°4 op.30
Liszt, Années de pèlerinage, deuxième année – Italie
Sonnetto 104 Del Petrarca
Liszt, Liebestraum n°3, S.541
Granados, Goyescas op.11 El Amor y la MuerteWagner,
Tristan und Isolde : Liebestod (arr. Liszt)
Prokofiev, Sonate n°7
Couronné « Jeune musicien de l’année » par la BBC en 2014, le pianiste Martin James Bartlett rencontre un succès durable bien au-delà des frontières de sa Grande-Bretagne natale. À seulement 23 ans, il a déjà été finaliste du prestigieux concours Van Cliburn en 2017, et a joué pour les auditoires les plus choisis, en particulier la reine Élisabeth II à l’occasion de son 90e anniversaire. Le programme qu’il propose trouve son origine dans son récent album Live and Death, inspiré par l’une des Goyescas de Granados. Il est l’occasion d’explorer différentes figures musicales d’Éros et Thanatos : de l’amour spirituel, christique chez Bach, mystique chez Scriabine, au mortel amour romantique chez Schumann, Liszt, Wagner et Prokofiev, sans oublier les « notes qui s’aiment » que se plaisait à chercher sur le clavier le jeune Mozart enfant.
Jeudi 7 novembre 2019, 20h30 : Récital Daniel Lozakovich, violon & Stanislav Soloviev, piano
Kreisler, Preludium et AllegroKreisler, Sicilian Rigadoun
Elgar, Salut d’amour
Elgar, La capricieuse
Brahms, Danse hondroise n°6
De Sarasate, Introduction et Tarentelle
De Falla, Danse espagnole
Ponce, Estrellita
de Sarasate, Zapateado
Kreisler, Liebeslied
Rachmaninov, Vocalise
Debussy, Clair De Lune
Saint-Säens, Rondo Capriccioso
Violoniste à la précocité prodigieuse, le suédois Daniel Lozakovich signe avec le label Deutsch Grammophon à l’âge de 15 ans seulement. Aujourd’hui tout juste majeur,il fait halte à l’Auditorium de la Fondation Louis Vuitton avec son duettiste le pianiste russe Stanislav Soloviev pour enregistrer sous ce même label un disque consacré au duo violon-piano (sortie au printemps 2020). Leur programme a des airs de voyage musical, mené au son du Stradivarius « Le Reynier » prêté à Daniel Lozakovich par le groupe LVMH. Nulle contrée ne sera oubliée par ce duo de choc, qui évoquera le charme viennois de la musique de Kreisler, la tendresse du britannique Elgar, l’exubérance hongroise des danses de Brahms et l’élégance française de Debussy et Saint-Saëns. L’Espagne de Sarasate et Falla, l’Argentine de Ponce et la Russie de Rachmaninov ne seront pas en reste : dépaysement garanti !
Vendredi 22 novembre 2019, 20h30 : Piano nouvelle génération — Ivan Bessonov
Bach, Partita n°4 BW828
Debussy, Pour le piano
Tchaïkovski, Casse Noisette, Suite de Concert (arr. pour piano de Mikhail Pletnev)
Rachmaninov, Études tableaux op.39
Bessonov, Slawischer
TanzBessonov, Walzer
La glorieuse tradition du piano slave : à l’âge de 16 ans à peine, Ivan Bessonov remporte la prestigieuse compétition classique de l’Eurovision Young Musicians. En mettanten regard la Partita no 4 de Bach et la suite Pour le piano de Debussy, toutes deux construites sur le modèle de la suite de danses baroque, ce jeune prodige interroge lesliens féconds qu’entretiennent des périodes musicales éloignées dans le temps. Élève au Conservatoire Tchaïkovski de Moscou, Ivan Bessonov ravive la flamme des pianistes russes. À ce titre, il inscrit à son répertoire les plus célèbres pages des compositeurs de son pays, de la délicate suite de Casse-Noisette de Tchaïkovski aux virtuoses Études-Tableaux de Rachmaninov. En leur adjoignant deux de ses propres compositions, il inscrit ses pas dans ceux de ses illustres prédécesseurs et démontre l’étendue éblouissante de son talent musical.
Jeudi 5 décembre 2019, 20h30 : Récital Jean-Frédéric Neuburger, piano
Sciarrino, Perduto in una città d’acque
Adès, Œuvre pour piano seul à préciser
Neuburger, Études n°4, 5, 6 Création mondiale
Commande de la Fondation Louis Vuitton Boulez, Sonate n°2
Il est désormais l’un des maîtres du piano contemporain. Pianiste, compositeur, enseignant, Jean-Frédéric Neuburger propose à la Fondation Louis Vuitton un programme visionnaire, placé sous les augures de figures tutélaires de la modernité.Dans Perduto in una città d’acque, le sicilien Salvatore Sciarrino évoque les fantômes de Venise (cette « cité d’eaux ») autant que le sourire mélancolique de son maitre Luigi Nono à qui la pièce rend hommage. Les fantômes y sont à l’honneur, qui traversent aussi l’imaginaire de Thomas Adès – un autre pianiste-compositeur. Les ombres du vingtième siècle règneront sur l’impériale Sonate n° 2 de Boulez, dont le geste puissant invoque irrésistiblement le piano beethovenien. C’est enfin à un double exercice que se livre Jean-Frédéric Neuburger : celui qui consiste à interpréter ses propres œuvres, troisétudes jouées en création mondiale, commande de la Fondation Louis Vuitton.
Jeudi 19 Décembre 2019, 20h30 : Récital David Fray, piano Jean-Sébastien Bach, l’univers musical de Charlotte Perriand
Dans le cadre de l’exposition Le Monde nouveau de Charlotte Perriand mercredi 2 octobre 2019 – lundi 24 février 2020. Bach, Les Variations Goldberg.
Formé auprès de Jacques Rouvier au Conservatoire de Paris, le pianiste français David Fray s’impose rapidement comme un spécialiste du répertoire allemand. Sa prédilection pour la musique de Jean-Sébastien Bach en fait un interprète de choix pour les monumentales Variations Goldberg, sommet de l’art du cantor de Leipzig. Si David Fray n’a pas hésité à enregistrer en parallèle la musique de ce dernier et celle de Pierre Boulez, le dialogue qui s’opère ici est d’un tout autre ordre et dépasse les frontières entre les arts. En effet, la subtile construction architecturale et contrapuntique de l’aria et ses trente-deux variations fut une source d’inspiration féconde pour l’architecte et designer française Charlotte Perriand (1903-1999), à qui la Fondation Louis Vuitton rend hommage à travers une exposition qui retrace son fascinant parcours.
Mercredi 10 janvier 2020, 20h30 : Récital Cyprien Katsaris, piano
Beethoven, 9ème symphonie (trans. par R. Wagner)
Beethoven, 7ème symphonie (trans. par F. Liszt)
Transcriptions et improvisations sur des œuvres de Bach ; Bellini ; Schubert ; Saint-Saëns ; Chopin.
Au même titre qu’un Jean de La Fontaine transcrivit en langue française les fables d’Esope, ces grands improvisateurs qu’étaient Bach, Liszt et d’autres, en firent de même avec Vivaldi, Marcello, Schubert, Wagner… C’est justement une transcription par Wagner de l’Adagio de la 9ème Symphonie de Beethoven que choisit de donner Cyprien Katsaris, au côté d’une transcription de Liszt de l’Allegretto de la 7ème, un prélude à cet anniversaire beethovénien.
Re-découvrir une œuvre musicale orchestrale ou vocale à travers un nouvel éclairage, grâce à la transcription et à l’improvisation, est une expérience parfois fascinante et souvent enrichissante. Que ce soit un Lied de Schubert, un air d’opéra (Saint-Saëns, Bellini…) ou un mouvement symphonique, le piano permet de savourer des photographies en noir et blanc qui sont parfois au moins aussi belles, sinon plus encore, que celles en couleurs.
Jeudi 16 janvier 2020, 20h30 : Piano nouvelle génération — Sélim Mazari
Beethoven, Variations sur le Ballet “Das Waldmädchen“ WoO 71
Beethoven, 15 variations et fugue op. 35 sur un thème de Prométhée, « Variations Eroïca »
Enesco, Toccata & Pavane (Suite pour piano n°2 op. 10)
Prokofiev, Sonate n°6 op. 82
L’an dernier, ses interprétations jubilatoires de Debussy et Scarlatti avaient provoqué l’enthousiasme des mélomanes. Le pianiste français Sélim Mazari revient à l’Auditorium de la Fondation Louis Vuitton. Avec l’originalité qui le caractérise, Sélim Mazari convoque Beethoven et son génie de la variation à travers deux cycles dont le fameux « Eroïca ». L’art du musicien allemand fait directement écho à la virtuosité bondissante d’Enesco et de Prokofiev. De la Sonate n° 6, le pianiste Sviatoslav Richter dit ainsi : « La clarté inhabituelle du style et la perfection structurelle de cette musique m’avait stupéfait. Je n’avais jamaisrien entendu de tel. Le compositeur y brisait les idéaux du romantisme avec une audace sauvage et incorporait dans sa musique la pulsation terrifiante du XXe siècle. »
Jeudi 6 février 2020, 20h30 : Piano nouvelle génération — Daniel Kharitonov
Beethoven, Sonate en do majeur op.2 n°3
Chopin, Ballade n°1 en sol mineur, op.23
Rachmaninov, 5 Morceaux de fantaisie op.3
Tchaïkovski, Dumka op.59
Tchaïkovski, Scherzo de la Symphonie n°6 « Pathétique »(Arrangement Samuel Feinberg)
Le pianiste russe Daniel Kharitonov remporte en 2015 le 3e prix du prestigieux Concours Tchaïkovski. Ce premier coup d’éclat marque le débutd’une carrière internationale couronnée des succès les plus brillants. Avec ce programme, il brosse un vaste panorama historique du piano romantique, des origines beethovéniennes encore marquées par Haydn et le classicisme viennois, aux ultimesréminiscences virtuoses d’un Rachmaninov, en passant par l’apogée belcantiste des nocturnes de Chopin. En faisant la part belle à la musique de Tchaïkovski, Daniel Kharitonov se montre fidèle à ses origines, et offre un fervent plaidoyer en faveur du plus romantique des musiciens russes.
Jeudi 2 avril 2020, 20h30 : Concert Boris Berezovsky, piano & Henri Demarquette, violoncelle
Strauss, 6 pièces pour piano seul
Strauss, Sonate pour violoncelle et piano en fa Majeur op.6
Grieg, Sonate pour violoncelle et piano en la mineur op.36
Britten, Sonate pour violoncelle et piano op.65
Deux musiciens complices sont de retour à la Fondation Louis Vuitton. Entre Boris Berezovsky et HenrI Demarquette, la complicité musicale dure depuis des années. Ensemble, ils ont parcouru le répertoire de la musique de chambre ; ensemble, ils invitent à une plongée dans des pièces lyriques et tourmentées. Œuvre de jeunesse, la Sonate pour violoncelle et piano en fa majeur de Strauss (1883) témoigne de l’amour du musicien pour le répertoire romantique – celui de Mendelssohn, par exemple. Elle est contemporaine de celle de Grieg, d’une intensité véhémente aux confins du tragique. Composée en 1961, la Sonate op. 65 de Britten en appelle à Rostropovitch et adresse au violoncelle une page virtuose, qui repousse les limites de l’instrument.
Jeudi 23 avril 2020, 20h30 : Récital Alexander Romanovsky, piano
Brahms, 7 Fantaisies, op.116
Bach, Partita n°2 – Chaconne
Chopin, 3 Nocturnes op.9
Chopin, 12 Études op.10
Peu de musiciens peuvent se targuer d’avoir inscrit leur nom aux côtés de Mozart et Rossini : tel est pourtant le cas de l’Ukrainien Alexander Romanovsky, qui, comme ces deux génies, s’est vu décerner à l’âge de 15 ans le titre d’Académicien honoraire par l’Académie Philharmonique de Bologne pour son interprétation des Variations Goldberg de Bach. Des atmosphères toujours changeantes des fantaisies de Brahms,aux souples lignes vocales des Nocturnes de Chopin, les œuvres qu’il a réuni pour son récital à l’Auditorium de la Fondation Louis Vuitton se caractérisent par leur liberté d’inspiration. La basse obstinée de la chaconne de la deuxième Partita de Bach ou le savant dosage de difficulté technique et de fluidité musicale des Études op.10 de Chopin viennent, quant à eux, rappeler que la plus grande des libertés naît parfois dela plus rigoureuse contrainte.
Mercredi 29 avril 2020, 20h30 : Thomas Adès, Sonate pour violon et piano (Création mondiale) Leila Josefowicz, violon & Thomas Adès, piano
Ravel, Sonate n°2 pour violon et piano en sol majeur
Knussen, Reflection (2017)
Adès, Sonate pour violon et piano
Création mondiale – Commande de la Fondation Louis Vuitton
Le britannique Thomas Adès compte parmi les musiciens les plus salués de sa génération, tant pour son talent de pianiste que de compositeur. C’est à ce double titre qu’il présente avec la violoniste canadienne Leila Josefowicz un programme centré autour du répertoire pour violon et piano des XXe et XXIe siècles. En effet, aux côtés des œuvres de Ravel et du britannique Oliver Knussen, récemment décédé, Thomas Adès interprète en première audition mondiale sa Sonate pour piano et violon, commande de la Fondation Louis Vuitton.
Mercredi 6 et Jeudi 7 mai 2020 : Masterclasses publiques de Vladimir Spivakov
Direction : Vladimir Spivakov, violon
Programme communiqué ultérieurement
Jeudi 14 mai 2020, 20h30 : Récital Khatia Buniatishvili, piano
Schubert, Quatre impromptus op.90
Beethoven, Sonate n°23 en fa mineur op. 57, Appassionata
Liszt, 3 Lieder
Liszt, Études d’exécution transcendante – N°4 : Mazeppa
Liszt, Rhapsodie hongroise n°6
Géorgienne de naissance, mais naturalisée française en 2017, Khatia Buniatishvili voit sa carrière lancée en 2008 par le succès qu’elle remporte au concours Rubinstein à Tel- Aviv. Sa fulgurante ascension n’a pas cessé depuis, portée par l’énergie et le charme de celle que les médias surnomment « la Beyoncé du piano ». À l’aise dans les répertoires les plus éclectiques, Khatia Buniatishvili consacre ici son programme à trois grands compositeurs romantiques qu’elle apprécie particulièrement. Elle admire ainsi « l’art de la patience » que requiert la musique de Schubert, tandis que Liszt fut son « premier plaisir musical ». Quant à la monumentale Sonate Appassionata de Beethoven, elle sera l’occasion pour cette « enchanteresse du piano » de déployer toute l’étendue de son talent et de sa grande expressivité.
Vendredi 12 juin 2020, 20h30 : Piano nouvelle génération — Simon Bürki
Scarlatti, Sonate en si mineur K87
Scarlatti, Sonate en fa mineur K466
Schumann, Kreisleriana op.16
Liszt, Rhapsodie hongroise n°9
Liszt, Liebestraum n°3
Liszt, Études d’exécution transcendante N°5 Feux follets
Stravinsky, Trois mouvements de Petrouchka
Après avoir remporté 3 prix au Concours international Horowitz à l’âge de 11 ans, le pia-niste suisse Simon Bürki devient en 2013 lauréat du Concours de musique pour jeune pianiste de Kiev. Ce succès lance la carrière de ce musicien à la précocité prodigieuse :il a alors seulement 13 ans. Le programme qu’il propose au public de la Fondation Louis Vuitton explore toutes les facettes de son jeu pianistique : de la douce mélancolie des sonates de Scarlatti, à l’atmosphère toujours changeante des Kreisleriana de Schumann, en passant par la virtuosité des rhapsodies et des études de Liszt. Élève au conservatoire de Moscou, Simon Bürki clôt son programme par l’une des pièces les plus brillantes du répertoire pianistique russe : Les Trois mouvements de Petrouchka de Stravinsky.
Fin juin 2020 : Piano Jazz Sessions
Artistes, programmes et dates communiqués ultérieurement.
Classe d’Excellence de Violoncelle : Gautier Capuçon – 5ème saison
Session 1 : Mercredi 13 au samedi 16 novembre 2019
13 novembre : Auditions publiques — masterclasses publiques 14-16 novembre
Session 2 : Vendredi 13 au dimanche 15 décembre 2019
Session 3 : Vendredi 6 au dimanche 8 mars 2020
Session 4 : Jeudi 9 au samedi 11 avril 2020
Session 5 : Vendredi 15 au dimanche 17 mai 2020
Session 6 : Mercredi 17 au samedi 20 juin 2020
* Programme des masterclasses publiques et des concerts communiqués ultérieurement
Renseignements pratiques (tarifs, réservation, accès)
Tarifs : 25€, 40€ ou 60€