Sur les réseaux sociaux, sms, emails… chacun écrit avec l’alphabet classique. Depuis peu nous utilisons le premier alphabet international qui nous permet d’échanger quelque soit la langue de notre interlocuteur. Une nouvelle façon d’échanger, ludique et efficace. La question est de savoir si vous utilisez et utiliserez de plus en plus ce nouvel alphabet avec les journalistes.
La réponse semble être OUI à la lecture de l’étude exclusive FDJ/OpinionWay* sur l’utilisation des émitocônes par les Français. Vous savez, ces images représentant des émotions, des objets, des lieux, des pays, des animaux, des métiers… et bien d’autres informations concrètes et abstraites.
– Pour 76 % des Français, les émoticônes sont une forme de communication universelle et 57 % d’entre eux estiment qu’il s’agit d’une forme de communication à part entière.
– 84 % des Français utilisent les émotiônes avec un pic chez les jeunes de moins de 35 ans (95 %) et les femmes (90 %).
– En moyenne, les Français utilisent 6 émoticônes par jour, 2 émoticônes par message et au total une gamme de 7 émiticônes différents.
– Les émoticônes les plus utilisés renvoient à des émotions positives : smiley souriant (46 %), clin d’oeil (46 %).
Les émoticônes : une partie intégrante de la communication au quotidien
Les émoticônes sont connus par 90 % des Français et 74 % d’entre eux seraient capables d’expliquer précisément de quoi il s’agit. Plus important : ils sont répandus dans toutes les strates de la société, dans les contextes aussi bien personnels (81 %) que professionnels (63 % en envoient à leurs collègues et même 16 % à leur hiérarchie).
Les émoticônes, pourquoi et pour quoi ?
En permettant aux Français de s’exprimer grâce à des images, des illustrations, les émoticônes constituent une nouvelle forme de communication fondée sur le digital. 75 % des Français estiment qu’il s’agit là d’une nouvelle forme de communication à part entière (68 % chez les moins de 35 ans). Pour la majorité, les émoticônes servent à compléter le texte, à renforcer le propos, à souligner les sens (75 %).
Alors, n’hésitons plus à « émoticôner » nos échanges digitaux avec les journalistes sans jamais perdre la puissance et la force des mots !
*Etude réalisé en ligne du 1er au 3 février 2017 auprès d’un échantillon de 1015 personnes par FDJ/OpinionWay